Il s’agit d’apprenants du Département de Français Langue Etrangère de l’Université de Lorraine, de niveaux B1-B2. En binômes, ils travaillent sur la préposition pendant lors de sessions d’apprentissage sur corpus (ASC) en autonomie. Il leur était demandé de lister les différents usages de pendant en interaction.
Binôme 1 : HEC & NOA analysent une ligne de concordance et font une remarque sur les temps des verbes associés à pendant. NOA propose à HEC de découvrir l’onglet « description » pour mieux comprendre le contexte de la vidéo. Enfin, NOA fait une remarque sur la place de pendant dans les énoncés.
Binôme 2 : SON & HAM sont eux aussi apprenants au Département de Français Langue Etrangère de l’Université de Lorraine, et de niveaux B1-B2. SON prend un petit temps en début de session pour expliquer à HAM en quoi consiste le dispositif FLEURON.
Il s’agit d’apprenants du Département de Français Langue Etrangère de l’Université de Lorraine, de niveaux B2-C1. Lors d’une séance de navigation libre sur FLEURON, les apprenants décident de chercher « grave » dans le concordancier. Ils en arrivent à la conclusion que « grave » est utilisé en contexte informel, entre jeunes personnes.
Il s’agit d’apprenants du Département de Français Langue Etrangère de l’Université de Lorraine, de niveaux B2-C1. Lors d’une séance de navigation libre sur FLEURON, une apprenante souhaite trouver des alternatives à « ok », qu’elle utilise trop souvent à son goût. Ainsi, les deux participantes s’intéressent à « tout à fait » puis à « effectivement », qu’elles cherchent ensuite dans le concordancier.
Dans l’exemple suivant, mettant en scène le même binôme, une des participantes passe de la théorie à la pratique en mettant en application ce qu’elles ont découvert un peu plus tôt dans la séance. En effet, celle-ci crée une situation dans laquelle employer « effectivement » de façon tout à fait pertinente. Elle prouve ici qu’elle a compris comment utiliser « effectivement » en contexte grâce au travail effectué sur concordancier. Nous voyons ensuite le binôme faire part de leur découverte aux deux enseignantes, avec qui elles reviennent sur leurs conclusions.
Il s’agit d’apprenants du Département de Français Langue Etrangère de l’Université de Lorraine, de niveaux B2-C1. Lors d’une séance de navigation libre sur FLEURON, un binôme d’apprenantes décide de travailler sur la prononciation des phonèmes [e] et [ɛ]. Une participante fait part des difficultés qu’elles éprouvent à discriminer les deux phonèmes à cause de sa langue maternelle, le portugais, dans laquelle c’est « tout le contraire ». Sa binôme partage son astuce pour faire la différence, à savoir utiliser le mot « élève ».
L’extrait suivant présente la séance qui suit, de retour en classe, pour présenter les résultats des recherche aux autres étudiants. Le binôme montre ici qu’il s’est totalement approprié la démarche d’ASC, quand une des participantes dit : « on a pas cherché les vraies règles » et « on a essayé de faire une règle qui pour nous il y a le sens ».